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Le peintre de la vie moderne

La Danseuse, Constantin Guys

Pour publier cette critique, Baudelaire ira de déconvenue en déconvenue, suggérant à une dizaine de revues ses textes sans pouvoir en obtenir leur publication. Baudelaire aurait écrit Le Peintre de la Vie Moderne dans le courant de l’année 1859; c’est le Figaro qui le publiera, en trois épisodes, les 26 et 29 novembre et le 3 décembre 1863.
Comment expliquer cette publication tardive ? Sans doute Baudelaire était déjà un critique trop original pour que les honnêtes directeurs de revue lui accordent un réel crédit. Mais c’est aussi pour cet artiste, ce mystérieux C. G. dont Baudelaire fait l’éloge à travers ce prodigieux texte critique. Constantin Guys – c’est de lui qu’il s’agit – était alors un talent trop méconnu pour intéresser la presse; et aujourd’hui, ce dessinateur, peintre et aquarelliste de génie n’a pas la reconnaissance qu’il mériterait. D’origine hollandaise, il travaille pour l’Illustrated London News avant de s’installer à Paris vers 1859. C’est à cette époque qu’il rencontre Baudelaire, qui lui commande des dessins et s’instruit de ce curieux personnage. La trop grande modestie de Guys – qui ne voyait pas l’utilité de signer ses œuvres – en fait un personnage mystérieux, se complaisant dans l’anonymat, surpris et mécontent de la critique que Baudelaire veut consacrer à ses dessins…
Ses œuvres, qui sont pour Baudelaire un grand témoignage de la modernité des mœurs de son époque, ne font pas l’unanimité – même si Guys compte parmi ses admirateurs Delacroix, Nadar, Barbey d’Aurevilly ou Gautier. Aujourd’hui, il nous faut les redécouvrir.

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Constantin Guys

 
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Sommaire de l'oeuvre
 
La volupté unique et suprême de l'amour gît dans la certitude de faire le mal. Et l'homme et la femme savent de naissance que dans le mal se trouve toute volupté. -- Le diable, je suis bien obligé d'y croire, car je le sens en moi ! -- Donnez moi la force et le courage de contempler mon cœur et mon corps sans dégoût. -- En rouvrant mes yeux pleins de flamme J'ai vu l'horreur de mon taudis, Et senti, rentrant dans mon âme, La pointe des soucis maudits ; -- Par l'âpreté, la finesse et la certitude de son dessin, M. Méryon rappelle ce qu'il y a de meilleur dans les anciens aquafortistes. -- Liberté et fatalité sont deux contraires ; vues de près et de loin, c'est une seule volonté. -- Le diable, je suis bien obligé d'y croire, car je le sens en moi ! -- On ne peut oublier le temps qu'en s'en servant. -- Le beau est toujours bizarre. -- Il y a autant de beautés qu'il y a de manières habituelles de chercher le bonheur. -- Le poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer; Exilé sur le sol au milieu des huées,Le Salon de 1845
Le Salon de 1846
Le Salon de 1859
La Fanfarlo
Les Fleurs du mal, premi?re ?dition (1857)
Les Fleurs du mal, seconde ?dition (1861)
Le Spleen de Paris
Mon coeur mis ? nu
Les Paradis artificiels
Comment on paie ses dettes quand on a du g?nie
Conseils aux jeunes litt?rateurs
Les Drames et les romans honn?tes
Peintres et aquafortistes
Morale du joujou
Madame Bovary par Gustave Flaubert
Du Vin et du Haschisch
Fus?es
Le mus?e classique du bazar Bonne-Nouvelle
Exposition universelle
Les Mis?rables par Victor Hugo
Richard Wagner et Tannh?user ? Paris
Le peintre de la vie moderne
Choix de maximes consolantes sur l'amour
L'?cole pa?enne
Les fleurs du mal, fleurs maladives, la fleur du mal, fleurs du mal de Charles Baudelaire. Les Fleurs du mal Le Spleen de Paris, Les Petits po?mes en prose,po?sie en prose, recueil majeur. Le Spleen de Paris
 
 
"J'ai pétri de la boue et j'en ai fait de l'or." 
 
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