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Les Fleurs du mal

Seconde édition

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IV. Correspondances

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    La nature est un temple où de vivants piliers
    Laissent parfois sortir de confuses paroles ;
    L'homme y passe à travers des forêts de symboles
    Qui l'observent avec des regards familiers.
   
    Comme de longs échos qui de loin se confondent
    Dans une ténébreuse et profonde unité,
    Vaste comme la nuit et comme la clarté,
    Les parfums, les couleurs et les sons se répondent.
   
    Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants,
    Doux comme les hautbois, verts comme les prairies,
    - Et d'autres, corrompus, riches et triomphants,
   
    Ayant l'expansion des choses infinies,
    Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens
    Qui chantent les transports de l'esprit et des sens.
   


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La femme est naturelle, c'est-à-dire abominable. -- La volupté unique et suprême de l'amour gît dans la certitude de faire le mal. Et l'homme et la femme savent de naissance que dans le mal se trouve toute volupté. -- On ne peut oublier le temps qu'en s'en servant. -- La volupté unique et suprême de l'amour gît dans la certitude de faire le mal. Et l'homme et la femme savent de naissance que dans le mal se trouve toute volupté. -- Il y a dans l'acte de l'amour une grande ressemblance avec la torture ou avec une opération chirurgicale. -- Le diable, je suis bien obligé d'y croire, car je le sens en moi ! -- Ne pouvant pas supprimer l'amour, l'Eglise a voulu au moins le désinfecter, et elle a fait le mariage. -- La femme est naturelle, c'est-à-dire abominable. -- On ne peut oublier le temps qu'en s'en servant. -- Il y a, dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées, l'une vers Dieu, l'autre vers Satan. L'invocation à Dieu, ou spiritualité, est un désir de monter en grade; celle de Satan, ou animalité, est une joie de descendre. -- Bien qu'on ait du coeur à l'ouvrage, l'Art est long et le temps est court.Le Salon de 1845
Le Salon de 1846
Le Salon de 1859
La Fanfarlo
Les Fleurs du mal, première édition (1857)
Les Fleurs du mal, seconde édition (1861)
Le Spleen de Paris
Mon coeur mis à nu
Les Paradis artificiels
Comment on paie ses dettes quand on a du génie
Conseils aux jeunes littérateurs
Les Drames et les romans honnêtes
Peintres et aquafortistes
Morale du joujou
Madame Bovary par Gustave Flaubert
Du Vin et du Haschisch
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Le musée classique du bazar Bonne-Nouvelle
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Les Misérables par Victor Hugo
Richard Wagner et Tannhäuser à Paris
Le peintre de la vie moderne
Choix de maximes consolantes sur l'amour
L'école païenne
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"Ne pouvant pas supprimer l'amour, l'Eglise a voulu au moins le désinfecter, et elle a fait le mariage." 
 
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